[LETTRE D’OPINION]
Cette lettre, publiée le 17 novembre 2021 dans Le Devoir, a été rédigée par :
Denis Tremblay
Président-directeur général de l’Association de l’industrie électrique du Québec (AIEQ)
Membre du Conseil d’administration de Polytechnique Montréal et président du comité de vérification
Elle a été cosignée par Normand Mousseau, directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier (IET) à Polytechnique Montréal.
Au terme de deux semaines d’intenses discussions dans le cadre de la COP26, on ne peut que s’inquiéter du peu de progrès accompli pour convenir d’un plan d’action cohérent et crédible pour réduire notre dépendance globale aux énergies fossiles.
Avec raison, plusieurs ont manifesté leur déception quant à la faiblesse des engagements concrets à court terme pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES), pendant que d’autres ont tenu à souligner certaines avancées, notamment la mention sur la nécessité de réduire notre dépendance aux énergies fossiles. Mieux vaut tard que jamais !
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