Le gouvernement doit s’assurer de répondre à la crise en ne mettant pas davantage en danger la santé physique et mentale des citoyens ni aggravant la crise climatique et les problématiques environnementales. Il importe donc de prioriser l’aide aux travailleurs de toutes les industries touchées, mais d’éviter les subventions qui provoqueraient des dommages collatéraux tel que l’augmentation d’activités fortement polluantes ou des investissements dans les infrastructures qui accroîtraient les émissions de GES pour les décennies à venir. Les subventions et les aides devraient être accompagnées de conditions visant à orienter les investissements qui vont décarboniser ces secteurs et à mieux répartir les risques entre les citoyens et les divers acteurs de la société.